Les effets de la venue de Donald Trump à la Maison blanche, se font pdéjà ressentir dans la guerre d’invasion que mene la Russie de Vladimir Poutine depuis près de trois ans, sur le territoire de l’Ukraine, en raison du souci de cette dernière de réjoindre l’OTAN.
Jusqu’ici, les troupes russes et leur artillerie menent des bombardements en Ukraine, et n’ont cessé d’avancer. Soutenus par les États-unis d’Amerique et ses alliés pour resister face aux avancées inquiétantes de la Russie, le Président ukrainien Volodymyr Zelensky craint d’être abandonné sur le chemin de la guerre par l’un de ses plus grands soutiens.
Dans une sortie médiatique inattendue, l’homme fort de Kiev accepte finalement de céder « temporairement » une partie de son territoire, en attendant les négociations qui pourront conduire à la cessation des hostilités et par ricochet, à la paix.
L’OTAN que refuse la Russie pour ne pas se retrouver face à une menace en face, est de nouveau évoquée par le Président ukrainien pour la désescalade. « Si nous voulons arrêter la phase chaude de la guerre, nous devons prendre sous l’égide de l’OTAN, le territoire de l’Ukraine que nous avons sous notre contrôle », a signifié Volodymyr Zelensky, dans un entretien avec nos confrères de Sky news.
Dans cet angle, la Russie a renseigné à News week, qu’au moins 100 mille soldats de la paix pourront être déployés par l’Organisation du traité de l’Atlantique nord (OTAN). Cette organisation pour rappel, est composée de 32 pays d’Europe et l’Amérique du Nord, et sa création a été définie par le souci de protéger la population et le territoire des pays membres.
Cette position de l’Ukraine craint cependant pour les entités, actuellement occupées par la Russie. Dans la logique d’attendre des négociations pour recouvrir l’entierté de son intégrité territoire, la Crimée et le Dombas sont restés depuis 2014, des territoires entièrement russes.
Parmi les régions en risques de devenir définitivement de la Russie se trouvent les oblats de l’Ukraine dont Donetsk, Kherson, Louhansk et de Zaporijjia. Si les négociations n’aboutissent pas par la voie diplomatique, ces entités feront partie de la Russie de Vladimir Poutine.
La Rédaction