Les épreuves hors session de l’examen d’état pour les élèves finalistes de l’année scolaire 2022-2023 en République démocratique du Congo, ont été lancées ce lundi 08 mai. En ville de Beni (Nord-Kivu), ils sont environ six milles (6000) élèves, qui prennent part à cette gymnastique scientifique à en croire Matsoro Lenge Olivier, le Sous-proved de l’EPST affecté dans cette ville cosmopolite, joint par AGORAGRANDSLACS.NET
« Nous espérons que les épreuves vont se dérouler sans incident car toutes les précautions ont été prises, en toute responsabilité. Il y a un autre centre de passation qui a fait gonfler le nombre dont le onzième (11ème), vu la démographie qui ne fait qu’accroître du jour au lendemain, ici chez-nous », a-t-il dit.
Le maire de Beni, Muteba Kashale Narcisse a procédé au lancement officiel de ces épreuves à l’Institut l’Avenir de Beni (IAB), situé au quartier Résidentiel en commune Bungulu. Le représentant du pouvoir public a appelé les futurs cadres de la RDC, à braver la peur face à ces examens qui, selon lui, sont constitués des matières apprises au sein de leurs différents établissements scolaires.
« Nous vous souhaitons tous, bonne chance et nous vous appelons à ne pas frissoner devant les examens car, il n’y a pas du nouveau que vous allez rencontrer, dans vos différentes salles de passation. Tout a été enseigné par vos enseignants « , a lancé le commissaire supérieur principal Narcisse Muteba.
Revenant sur la question des élèves déplacés de guerre dans la région de Beni, le Sous-proved Matsoro Lenge Olivier a indiqué que pour l’année scolaire en cours, il n’y a aucun établissement scolaire qui a défini la marge des élèves finalistes, qui éprouvent ce genre de vulnérabilité au niveau de leurs différentes classes du degré terminal.
Kizito Katembo, à Beni