L’explosion d’une bombe à l’église 8e CEPAC Lubiriha, ce dimanche 15 janvier 2023, ne laissent pas insensibles. La DCF-N et d’autres personnalités multiplient les messages de condoléances et les appels à l’ouverture des enquêtes pour que les coupables répondent de leurs actes.
La Démocratie chrétienne fédéraliste Nyamwisi, DCF-N, a adressé ses condoléances aux familles touchées par cette attentat à la bombe. Elle introduit la volonté de justice, exprimée dans le tweet du Président national de ce parti politique, Simon Kazungu. Celui-ci demande au Gouvernement de s’assumer face à cette barbarie.
« Nous avons appris avec amertume l’attentat terroriste à l’église 8e CEPAC Lubiriha. Nous adressons nos condoléances aux familles touchées par cette situation et demandons que justice soit faite. La DCF-N demande à la population d’user de prudence et au Gvt Congolais de s’assumer. », renchérit Simon Kazungu.
Le candidat déclaré à la présidentielle de 2023, Moïse Katumbi de l’Ensemble pour la République pense que les attentats de cet ordre n’ont pas leur place au pays.
« Je condamne avec la plus grande fermeté l’acte barbare perpétré ce dimanche à Kasindi.
Mes prières vont aux familles des victimes. Les actes terroristes, comme les discours de haine, n’ont pas leur place en #RDC. », a-t-il tweeté.
La douleur laissée par cette explosion est également partagée par la mission onusienne. La MONUSCO porte plus haut le flambeau des enquêtes.
« La MONUSCO condamne l’attentat lâche et ignoble contre une église à Kasindi (Nord-Kivu) causant la mort de plusieurs personnes et de nombreux blessés. Elle présente ses condoléances aux familles des victimes, au peuple congolais et au gouvernement de la République. »
Le bureau de l’ambassade française en République démocratique du Congo s’est montré « horrifié » par cette explosion. Il a joint ses condoléances aux nombreuses autres adressées aux familles attristées.
Guerschom Mohammed Vicci