La journée mondiale de la « Vie sauvage » est célébrée le 03 mars de chaque année. Celle-ci met en honneur la façon dont tout être humain focalise son attention sur la « Nature », source de toute vitalité.
Dans le domaine de la « Conservation de la Nature », les enseignants biologistes, qui interviennent dans ce secteur dont, parmi eux, l’assistant Chadrac Sivyatsomana œuvrant en ville de Beni, au Nord-Kivu, a explicité les atouts qu’apporte la Nature dans la vie d’un être humain, dont la dépendance liée à la vie de tout un chacun à travers la vie sauvage.
La personne ressource a abordé deux thématiques, dont la « Santé et le Tourisme », qui ont toujours été mis en œuvre grâce aux différentes grandes forêts que regorge la République démocratique du Congo, visitées de façon occasionnelle par les blancs et la nation Congolaise en tire un profit.
Partant de l’aspect environnemental, Chadrac Sivyatsomana a évoqué le terme de la » Pharmacopée », avec un impact visible en RDC via ses différentes forêts. Il a signifié que celle-ci joue un rôle majeur en médecine car elle constitue un traité qui enseigne la manière de préparer les médicaments, d’où, la Vie sauvage reste le seul revenu en fourniture médicale, celà à tous les niveaux.
À en croire cet enseignant, membre de la faculté des sciences, en département de biologie avec deux (2) orientations dont la Botanique ainsi que la Zoologie et conservation de la nature, la Vie sauvage est constituée de la flore, qui est à son tour constituée par des forêts voire toutes les espèces végétales qui se retrouvent dans la forêt, et de la faune, constituée par des animaux sauvages, ceux qui sont retrouvés dans la forêt, d’où, l’aspect de réserver une attention particulière à la la Vie sauvage, dont toute créature en dépend, reste l’apanage de tout l’univers.
Kizito Katembo, à Beni