Dans un paysage politique souvent critiqué pour son éloignement des réalités du terrain, l’honorable José Kalala wa Kalala se démarque comme un phare d’espoir. Sa récente visite dans sa région natale de Ngandajika n’est pas qu’une simple tournée protocolaire, mais une véritable leçon de leadership engagé et connecté.
Surnommé « le Messi de Mbuji-Mayi », Kalala wa Kalala prouve que son influence s’étend bien au-delà des limites de la ville. Son parcours de plus de 100 kilomètres à travers la province de Lomami révèle un homme politique qui n’hésite pas à quitter le confort de la capitale pour aller à la rencontre de ses électeurs, même dans les zones les plus reculées.
L’accueil qui lui est réservé tout au long de son trajet, témoigne d’une connexion profonde avec la population. Des villages entiers qui s’arrêtent, des chefs coutumiers qui offrent des chèvres, des routes décorées comme pour une fête religieuse : ces gestes spontanés montrent que Kalala wa Kalala n’est pas perçu comme un simple politicien, mais comme un véritable fils du pays, porteur d’espoir et de changement.
Mais ce qui distingue véritablement cette visite, c’est l’action concrète qui l’accompagne. En posant la première pierre d’une école moderne à Bena Mujinga et en distribuant des fournitures scolaires, l’honorable démontre sa compréhension des besoins réels de sa communauté. Il ne se contente pas de promesses, il agit, alignant ses actions sur la vision de développement du Président Tshisekedi.
Cette approche pragmatique et proche du terrain devrait servir d’exemple à la classe politique congolaise. Elle rappelle que le véritable leadership ne se mesure pas à la grandeur des discours, mais à l’impact tangible sur la vie des citoyens.
Cette visite de José Kalala wa Kalala à Ngandajika n’est pas qu’un simple retour aux sources. C’est une démonstration puissante de ce que devrait être la politique : un service dévoué à la communauté, ancré dans la réalité locale et tourné vers l’action concrète. Dans un pays en quête de renouveau, des leaders comme Kalala wa Kalala, incarnent l’espoir d’une gouvernance plus proche et plus efficace.
Franck Tatu