Les journalistes Jonas Kasula et Jonathan Mupenda, en poste à Goma, sont la cible de menaces de mort répétées. Ces intimidations, qui font suite à leur couverture des événements liés au M23, mettent en évidence le danger encouru par les professionnels de l’information dans cette région déjà fragile.
Ces attaques ciblées contre des journalistes soulignent la vulnérabilité de la situation à Goma et les risques auxquels font face ceux qui cherchent à informer le public sur les réalités du terrain.
La couverture médiatique du conflit dans l’Est de la République démocratique du Congo, est essentielle pour sensibiliser l’opinion publique et faire pression sur les acteurs impliqués afin de trouver une solution pacifique.
Les menaces pesant sur Jonas Kasula et Jonathan Mupenda rappellent brutalement la nécessité de protéger les journalistes et de défendre la liberté de la presse, même dans les contextes les plus difficiles.
Il est urgent que les autorités compétentes prennent des mesures concrètes pour garantir leur sécurité ainsi que celle de tous les professionnels des médias opérant dans le Nord-Kivu.
Yannick Warangasi